Pour faire comprendre ce qui est vraiment important, le psychisme racial, je vais prendre un exemple tiré de ma forme préférée d’Art, la Musique.
Contrairement à ce que croient beaucoup de gens, les instruments de musique traditionnels africains ne se limitent pas aux seules percussions et sont aussi variés que les instruments issus de la culture européenne; il y a même beaucoup d’équivalence en cela que les Africains connaissent depuis aussi longtemps que les Européens les instruments à corde frottée, frappée, pincée, à anche double ou simple etc… à ceci près qu’ils ne se présentaient pas sous la même forme que leurs homologues européens. Tout ça pour dire que techniquement, un groupe de musiciens africains du XVIII° siècle aurait tout à fait été en mesure de jouer une symphonie de Mozart.
Or aucun musicien africain n’a composé semblable symphonie . Pourquoi? Parce que leur race de l’âme ne les y prédisposait pas. Et certainement pas par infériorité technologique ou culturelle : nul ne songera sérieusement à nier le génie créatif musical des peuples noirs. Les musiques africaines sont presque toujours des créations anonymes, populaires, collectives, ne se réfèrent à aucune théorie, se dispensent de toute notation et subissent des altérations d’une éxécution à une autre car leur transmission est fondé sur la seule mémorisation. Et elles sont ainsi parce qu’elles ne peuvent être autrement, car elles sont l’expression du paradigme d’une race.
la conception du son diffère aussi racialement; pendant que l’Occident, par une facture toujours plus poussée de ses instruments, s’efforçait d’obtenir un son toujours plus pur, simple, sans mélange, l’Afrique préfèrait un son complexe et brouillé. Ainsi ses musiciens mettaient-ils des graines sèches dans leurs caisses de résonance, et prolongeaient-ils les manches de leurs luths de tiges de métal garnies d’anneaux vibrants. Le souci du timbre existait donc chez les deux races, mais de manière totalement différente; là encore, la cause en revient à des psychismes raciaux distincts.
Voilà la seule tradition au sens étymologique du terme, car la seule transmission inscrite dans les gènes ne peut être que biologique. Etre d’une race, c’est exprimer son Moi profond. Une religion n’est qu’un passage dans l’évolution d’une race, une tentative pour expliquer momentanément le Monde, ou pour se mettre personnellement en harmonie avec le cosmos, un peu comme le vêtement ou le jouet d’un enfant qu’il quitte lorsqu’il grandit. Certes ça a fait partie de sa vie, de la construction de sa personnalité, mais ça ne se transmettra certianement pas génétiquement à sa descendance!